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Organisation

Divers types d'organisations structurent le Khanat. Guildes, compagnies, clans, consortium, conciles… Pour faire simple, tout groupe de ra s'organisant entre eux dans le temps est une organisation, quel que soit le but. Université, légion, groupe marchand, bande d'amis ou de bandits… ce sont tous des organisations.

Suivant leur ampleur, ces organisations ont accès à des ressources, mais aussi des droits et des devoirs différents.

Types d'organisations

Une organisation peut se fixer le but qu'elle veut et changer de raison d'exister au cours du temps. Cependant on a tendance à les classifier suivant leur domaine de prédilection. On a donc les organisation à but :

  • Amical (passer du bon temps avec des amis, reste en général de petite taille)
  • Scientifiques (Universités, Bibliothèques, Laboratoires de recherche)
  • Politiques (visant typiquement le niveau kagnivo)
  • Économiques (Banques, commerces, mais aussi artisans, éleveurs…)
  • Guerrières (Mercenariat, écoles de formation au combat, dojo, gladiateurs)
  • Religieuses
  • Criminelles (ces dernières n'ont aucun espoir de toucher une bourse ou d'être anobli et mobilisent les ressources du Khanat pour être mise hors d'état de nuire).
  • Etc.

Organisation par taille

Première étape : kagnipa

Des ras que rien ne rassemble ont parfois envie de se rassembler quand même et d'avoir accès à une fréquence privée sur le Kom. Il suffit d'aller voir un officier d'un Minaret, d'enregistrer sa fréquence parmi celles qui sont libres, puis d'y inviter ses amis. Moyennement un petit supplément, on peut aussi demander l'accès à une boîte à lettre commune1).

Seconde étape : kagnire

Cette étape est en fait composé de deux parties distinctes, l'une pouvant être faite sans l'autre. On peut passer à cette étape sans être passé par la première.

Un entrepôt

Pour gérer ses affaires commerciales ou autre, l'organisation peut acheter un entrepôt. A ce stade, les bâtiments proposés ne sont pas immenses mais permettent d'accueillir un peu de monde pour faire la fête et de faire dormir les membres dans un confort tout spartiate. Il est aussi possible de payer des ras pour assurer la garde du bâtiment ou faire le ménage ; ils sont rémunérés par l'organisation et en cas de non-paiement prendront leur congé !

Une visibilité publique

L'organisation peut s'inscrire au Registre des Organisations (Palais de Va'itu'a, RDC, bureau 25 ; une antenne locale est présente dans chaque Kastron) afin de prétendre à une existence officielle. L'inscription coûte une somme fixe.

Au passage, les familles sont considérés par l'administration comme étant des organisations. On passe donc par la même déclaration pour reconnaître son époux/épouse et ses enfants officiellement devant l'Empire. Beaucoup de ra ne s'embarrassent pas de ces formalités et vivent en union libre mais la reconnaissance officielle permet de faciliter les héritages et asseoir le prestige social.

La reconnaissance officielle s'assortit de quelques possibilités intéressantes :

  • On peut choisir un blason et l'afficher, ainsi que réserver le nom de son organisation de façon exclusive.
  • Le canal de l'organisation apparaît dans l'Annuaire du Kom avec une possibilité de définir des heures d'écoutes privées et publiques. Privées : seuls les membres de l'association entendent ce qui s'y dit. Public : n'importe qui peut se connecter au canal. Une organisation peut aussi décider de passer en “secret” et ainsi ne pas être répertorié sur l'annuaire.
  • Il est possible, si ça n'a pas été fait, d'acheter une boîte au lettre commune mais aussi d'acheter un panneau d'affichage public2), que ce soit pour les ambassades, pour montrer sa bonne ambiance, pour partager ses découvertes…
  • Moyennant encore quelques finances, on peut acheter des titres propres à son organisation. Grades militaires, scientifiques, commerciaux… Évidement il n'y a pas besoin de débourser d'argent pour faire appliquer une vrai hiérarchie au sein de son organisation, c'est uniquement pour avoir le droit d'afficher des titres qui claquent.

Troisième étape : kagnici

Pour passer à cette étape, il faut obligatoirement avoir validé la partie “Vie publique” à l'étape précédente. Cette étape, bien plus coûteuse, permet aussi d'accéder à une vie publique bien plus riche. En fait, sela se fait naturellement quand une kagnire commence à engager plus de dépenses pour développer ses activités.

Une organisation kagnici peut posséder plusieurs bâtiments et employer de nombreux ra. Tout cela coûte de l'argent et les possibilités sont assez modulables. Installer une taverne dans un secteur attractif, développer une université avec des cours en audition libre, asseoir son commerce en fondant un comptoir ou une banque…

Les kagnici, sous certaines conditions, peuvent demander à l'administration une bourse afin de pouvoir mener à bien leurs travaux.

  • L'organisation doit être active pour prétendre à une bourse ;
  • Elle doit être reconnu comme étant bénéfique au Khanat ;
  • L'attribution se décide par vote à la cour du Khan : il faut donc savoir défendre son projet.

Une fois attribuée, le montant de la bourse est versé chaque saison, tant que l'organisation est active et continue de satisfaire la cour. Il arrive que les représentants d'une organisation soient rappelés de temps à autre pour justifier leurs actions et le fait qu'ils ont toujours droit à l'aide gouvernementale. Il arrive que si le Khanat nationalise une organisation, uniquement si les membres composant l'organisation ne donnent plus signes de vie alors que le travail accompli jusque là mérite d'être maintenu. C'est surtout le cas des académies et bibliothèques, rarement des entreprises commerciales.

Quatrième étape : kagnivo

A ce stade, l'organisation doit faire une demande d'anoblissement, ce qui lui donne le droit de prétendre à la gestion d'une région. Cela ne concerne donc que les plus grosses organisations.

Le fait d'être anobli ne donne pas automatiquement accès à la gestion d'une zone. Si certaines zones ne sont pas gouvernées, le khan et sa cour les attribueront aux kagnivo. Ce qui ne garantit pas toujours de se retrouver en charge de la région qu'on lorgne.

Dans une région qu'elle contrôle, l'organisation peut fixer un prix libre sur certains téléporteurs, avec réductions possibles pour les organisations alliés ou interdiction d'utilisation pour les organisations avec qui elle peut être en froid. Elle peut implanter de nouveaux bâtiments, faire tourner les exploitations, instaurer dans une certaine mesure des lois locales. Elle doit cependant veiller à garder l'approbation de la population locale : si cette dernière se plaint trop, la gestion de la région ira à une autre organisation.

Les organisations sans région n'hésitent donc pas à acheter l'amour de la population locale pour demander un changement de régime en leur faveur.

Une organisation ne peut pas, en théorie, posséder plus d'une région. Il y a cependant fréquemment des dérogations, pour des raisons parfois compréhensibles (région dont personne ne veut, trop peu de kagnivo pour trop de régions…), parfois des raisons plus obscures (qui a parlé de pot-de-vin ?).

1)
Un forum privé
2)
forum privé avec possibilité de section publique
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