Lois du Khan
Les Lois du Khan forme la base du corpus juridique du Khanat. Nul ne peut les enfreindre sans en assumer les conséquences, où que ce soit dans le monde.
Elles ont évolués au fil des Éons, certaines apparaissant et disparaissant suivant les édits impériaux.
Elles sont complétées par les lois locales et les règlements des diverses corporations.
Grandeur du Khan et du Khanat
Le premier chapitre des Lois concerne le respect et la dévotion que chaque ra doit au Khanat et à son représentant incarné, le Khan.
Ces lois montrent que ce qui compte le plus, et fonde tout le reste, est de vivre dans une société harmonieuse, juste et cordiale. Ces lois visent à éviter tout ce qui peut perturber l'ordre public et troubler la paix, en amenant les ra à montrer tout le respect possible au monde dans lequel ils vivent et la société dans laquelle ils évoluent.
Le Khan représentant l'incarnation du Khanat, injurier son nom, refuser de s'incliner à son passage, d'appliquer ses ordres, de médire de ses décisions ou pire, d'oser envisager lui faire du mal est passible des plus lourdes peines.
Vie artificielle
La création d'un nouveau runzatra, ou de toute autre créature artificielle capable de ressentir et de penser, même de façon sommaire, doit être soumise à l'approbation du concile runzatra impérial et validé par écrit. Toute création en dehors de cet accord sera sévèrement puni.
Liberté d'aller et venir, de penser et d'agir
Nul ra ne peut entraver les déplacements d'un ra contre sa volonté, ni lui imposer quelque chose sans lui laisser la possibilité de refuser, en dehors des cas suivant :
- Arrêter le ra qui trouble la société, le temps qu'il reprenne ses esprits, ou éviter un trouble (cas des détournement de route par la garde lorsqu'elles sont dangereuses ou qu'une trop grosse circulation risquerait de provoquer des accidents)1) ;
- Si un Grand Juge le déclare opportun, comme étant la seule façon de protéger le Khanat et ses habitants et de ramener la paix et l'équilibre ;
- Si le Khan le décide.
Certains juristes estiment que la Police des Rêves et la Crypte, par leurs actions, bafouent ce droit élémentaire. Cependant, nul ra n'a jamais porté de plainte concrète contre ces deux organismes, la remarque tient plus des suppositions que de la réalité.