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Dernier message par Lyne - 27 Novembre 2025 à 11:41:40
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Dernier message par alcyone - 26 Novembre 2025 à 12:46:38
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CitationFaut encore déterminer ce qui fait qu'on est plutôt l'un ou plutôt l'autre, éventuellement en fonction des groupes sociaux. Et comment on l'affiche ;-p
CitationEt donc, comment on l'affiche... là, c'est compliqué, parce qu'en dehors des attitudes... ce n'est pas dans les habits ou les tenues, de ce qu'on a déjà écrit. Ou alors sur des accessoires qu'on n'a pas défini.
C'est là où je me dis que la communication télépathique pourrait ainsi avoir sa version d'une forme de "communication non verbale" de l'échange vocal que l'on connaît. Une communication qui pourrait afficher par pensée, par envoie et échange d'"impression" disons, son genre dans toute sa fluidité.
En somme la version télépathique du "she/her" "they/them" affichée sur les profils de réseau en ligne (qui serait comprise par et répercutée sur le kom d'iciel (icelui/icelle, vous suivez ?)).
Dernier message par Lyne - 25 Novembre 2025 à 23:53:28
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Les logs de la discussion qui a suivi (pour ne pas les perdre et pour les prochaines lectrices)
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Dernier message par Lyne - 25 Novembre 2025 à 22:42:46
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Tout a commencé quand j'ai relu un de mes vieux textes, et que je suis tombée sur un passage au sujet d'une « runzatra, définitivement genrée au féminin ».
Comment une runzatra se genre au féminin ? Pour que ça saute aux yeux de n'importe quelle ra qui la rencontre, avant même qu'elle n'ait pris la parole ? Et pourquoi aurait-elle envie de se genrer explicitement au féminin, d'abord ?
La réponse la plus évidente, c'est qu'elle informe les autres ra du fait qu'elle a fait les diverses adaptations techniques et installé les deux ou trois périphériques nécessaires pour avoir un sexe féminin (au sens d'organes sexuels). Ça ne sert à rien au niveau reproduction, mais ça permet de savoir à quoi s'attendre pour une certaine activité récréative. Plus ou moins, d'ailleurs, vu que rien ne dit à quelle(s) race(s) elle a choisi d'emprunter sa morphologie. Mais ne compliquons pas plus que nécessaire.
Donc : une runzatra se genre au féminin pour dire de quel côté elle se situe dans une partie de jambes en l'air...
Mouais. Ou pas.
Outre le fait que c'est sacrément réducteur d'associer son genre et son sexe (je ne vais pas dire sexe biologique pour un runzatra. Et sexe mécanique, je ne sais pas, je trouve que ça ne le fait pas), et que je n'ai même pas besoin d'aller regarder bien loin pour voir toutes les dérives que ça peut générer, ça revient aussi à proclamer en permanence qu'elle est à la recherche d'un plan Q.
Bon...
J'ai remâché un peu, j'ai commencé à griffonner quelques idées, et je suis retombée (en cherchant, j'avoue), sur un article de l'UM1 sur les N'Shali N'Bhali.
Je sais qu'il m'avait déjà pas mal chatouillée à l'époque. Enfin, surtout le passage sur « Les jeunes mâles doivent tuer un N'Dgen-Bondz pour faire valoir leur statut d'adulte. Une fois cela fait, ils adoptent pendant leur célibat une coiffure particulière, très colorée et sont considérés comme les guerriers de la tribu. »
J'en avais parlé (je ne sais plus avec qui. Probablement Zat), et nous étions arrivées à une conclusion qui nous satisfaisait à l'époque : n'importe quel N'Shali N'Bhali qui veut obtenir le statut d'adulte mâle dans la tribu, doit passer ce rite (aussi archaïque et idiot, voire irrespectueux de la biodiversité, puisse-t-il paraître aux yeux du reste du Khanat. Mais c'est une autre histoire).
Aucun rapport avec le sexe biologique, hein. Être un adulte mâle aux yeux de la tribu nécessite de tuer cette pauvre bête. Avoir un pénis ou un vagin, voire un hémipénis, ou rien du tout ne rentre pas en ligne de compte.
L'idée me plaisait bien à l'époque. Elle me plaît toujours d'ailleurs.
Mais...
Ben oui, y'a un mais, sinon je serais retournée écrire mes textes au lieu de remplir le forum. Cette idée appelle une autre question : pourquoi une ra voudrait être un mâle (N'Shali N'Bhali, au hasard) ou une femelle ou une neutre ou une autre chose, dans la société du Khanat ? Qu'est-ce que ça lui apporte ? Qu'est-ce que ça implique ?
Et là, j'avoue, je commence à sécher.
Il y a bien quelques cas simples (plus ou moins).
Par exemple, le Khan.
Une ra sans autre précision est genrée, par défaut, au féminin. Si on dit LE Khan, c'est que c'est bien un IL. Asexué si vous voulez, mais un IL quand même. Je ne sais pas à quoi c'est dû, mais être Khan, c'est forcément être genré au masculin. Ou l'inverse. Et comme personne n'ira vérifier ce qu'il y a sous ses robes... Enfin, c'est peut-être que personne ne reviendra en parler, surtout.
Mais il y a aussi quelques cas moins simples.
Au hasard (non, le hasard n'a rien à voir là-dedans, en fait), les Matriarches ophidra : le Conseil des Mères n'accueille que des ophidra qui ont pondu un œuf, donc des femelles au sens biologique du terme (bien que ce ne soit pas un facteur suffisant. Il faut aussi avoir pondu un œuf). Bon, en soit, ça ne dit rien du genre, c'est vrai.
À côté de ça, les ophidra se partagent certaines tâches de façon exclusive entre mâles et femelles. L'article ne précise pas si c'est genre ou sexe, donc ça pourrait être comme pour les N'Shali N'Bhali, de mon point de vue. Après, est-ce qu'on pourrait avoir une Matriarche qui se genrerait au masculin ? À voir.
Mais même sans préciser lesquelles, on y dit bien que les tâches sont différentes. Donc une ophidra pourrait choisir son genre en fonction de ses appétences (pour les tâches ! Pas pour le sexe ! Suivez un peu).
Bref. J'aimerais bien des cas concrets où c'est important pour une ra de préciser son genre : est-ce qu'il y a des boulots / positions / rangs, qui ne sont accessibles qu'à certaines conditions ? Et si oui, qu'est-ce que ça implique d'autre ? Est-ce c'est quelque chose qu'on abandonne facilement en quittant le boulot (comme son masque ou son uniforme, par exemple) ? D'où ça vient, d'avoir associé le genre à ce boulot / cette position ? Pourquoi ? Mais pourquoi ?
Et puis, tant que j'en étais à réfléchir sur le sujet, j'ai repensé aux discussions sur les vêtements. Et sur le fait qu'un vêtement « masculin » (à l'époque, on n'avait pas trop précisé le sens) aurait le même aspect sur un personnage mâle ou femelle, afin de permettre à chacune de s'habiller, et de s'afficher , comme elle veut. Ça va super bien avec l'idée précédente. Et tant qu'à y être, ça permet aussi d'avoir des vêtements « pas genrés », qui vont à tout le monde, ou en tous cas à toutes celles qui n'éprouvent pas le besoin de se dire mâle ou femelle pour le boulot.
Bon, d'accord, ça ne répond pas à la question du « pourquoi » qui me taraude depuis quelques paragraphes.
Mais en plus, ça m'a (oui, encore) posé une autre question : la plupart des races ont peu ou pas de dimorphisme sexuel (je ne vous remets pas tous les liens, vous pouvez aller voir les descriptions des races sur l'UM1 : les quetzara sont la seule exception). Du coup, est-ce que c'est comme les nains de Pratchett (pour ceux qui n'ont pas lu, nains et naines se ressemblent tellement que la partie la plus délicate quand on se fait la cour est d'essayer de déterminer si l'individu en face est, justement, un nain ou une naine), ou est-ce que le dimorphisme est quand même suffisamment marqué pour qu'on sache quelle plomberie il y a en face (non, cet article n'est pas poétique. Surtout à l'heure où je l'écris), ou bien les ra l'affichent d'une manière ou d'une autre (vêtement, bijou, tatouage, autre)... et on en revient, peut-être, ou pas, à un mélange des genres.
Bref... J'aimerais bien avoir d'autres avis, ou d'autres réflexions sur le sujet.
Comment une runzatra se genre au féminin ? Pour que ça saute aux yeux de n'importe quelle ra qui la rencontre, avant même qu'elle n'ait pris la parole ? Et pourquoi aurait-elle envie de se genrer explicitement au féminin, d'abord ?
La réponse la plus évidente, c'est qu'elle informe les autres ra du fait qu'elle a fait les diverses adaptations techniques et installé les deux ou trois périphériques nécessaires pour avoir un sexe féminin (au sens d'organes sexuels). Ça ne sert à rien au niveau reproduction, mais ça permet de savoir à quoi s'attendre pour une certaine activité récréative. Plus ou moins, d'ailleurs, vu que rien ne dit à quelle(s) race(s) elle a choisi d'emprunter sa morphologie. Mais ne compliquons pas plus que nécessaire.
Donc : une runzatra se genre au féminin pour dire de quel côté elle se situe dans une partie de jambes en l'air...
Mouais. Ou pas.
Outre le fait que c'est sacrément réducteur d'associer son genre et son sexe (je ne vais pas dire sexe biologique pour un runzatra. Et sexe mécanique, je ne sais pas, je trouve que ça ne le fait pas), et que je n'ai même pas besoin d'aller regarder bien loin pour voir toutes les dérives que ça peut générer, ça revient aussi à proclamer en permanence qu'elle est à la recherche d'un plan Q.
Bon...
J'ai remâché un peu, j'ai commencé à griffonner quelques idées, et je suis retombée (en cherchant, j'avoue), sur un article de l'UM1 sur les N'Shali N'Bhali.
Je sais qu'il m'avait déjà pas mal chatouillée à l'époque. Enfin, surtout le passage sur « Les jeunes mâles doivent tuer un N'Dgen-Bondz pour faire valoir leur statut d'adulte. Une fois cela fait, ils adoptent pendant leur célibat une coiffure particulière, très colorée et sont considérés comme les guerriers de la tribu. »
J'en avais parlé (je ne sais plus avec qui. Probablement Zat), et nous étions arrivées à une conclusion qui nous satisfaisait à l'époque : n'importe quel N'Shali N'Bhali qui veut obtenir le statut d'adulte mâle dans la tribu, doit passer ce rite (aussi archaïque et idiot, voire irrespectueux de la biodiversité, puisse-t-il paraître aux yeux du reste du Khanat. Mais c'est une autre histoire).
Aucun rapport avec le sexe biologique, hein. Être un adulte mâle aux yeux de la tribu nécessite de tuer cette pauvre bête. Avoir un pénis ou un vagin, voire un hémipénis, ou rien du tout ne rentre pas en ligne de compte.
L'idée me plaisait bien à l'époque. Elle me plaît toujours d'ailleurs.
Mais...
Ben oui, y'a un mais, sinon je serais retournée écrire mes textes au lieu de remplir le forum. Cette idée appelle une autre question : pourquoi une ra voudrait être un mâle (N'Shali N'Bhali, au hasard) ou une femelle ou une neutre ou une autre chose, dans la société du Khanat ? Qu'est-ce que ça lui apporte ? Qu'est-ce que ça implique ?
Et là, j'avoue, je commence à sécher.
Il y a bien quelques cas simples (plus ou moins).
Par exemple, le Khan.
Une ra sans autre précision est genrée, par défaut, au féminin. Si on dit LE Khan, c'est que c'est bien un IL. Asexué si vous voulez, mais un IL quand même. Je ne sais pas à quoi c'est dû, mais être Khan, c'est forcément être genré au masculin. Ou l'inverse. Et comme personne n'ira vérifier ce qu'il y a sous ses robes... Enfin, c'est peut-être que personne ne reviendra en parler, surtout.
Mais il y a aussi quelques cas moins simples.
Au hasard (non, le hasard n'a rien à voir là-dedans, en fait), les Matriarches ophidra : le Conseil des Mères n'accueille que des ophidra qui ont pondu un œuf, donc des femelles au sens biologique du terme (bien que ce ne soit pas un facteur suffisant. Il faut aussi avoir pondu un œuf). Bon, en soit, ça ne dit rien du genre, c'est vrai.
À côté de ça, les ophidra se partagent certaines tâches de façon exclusive entre mâles et femelles. L'article ne précise pas si c'est genre ou sexe, donc ça pourrait être comme pour les N'Shali N'Bhali, de mon point de vue. Après, est-ce qu'on pourrait avoir une Matriarche qui se genrerait au masculin ? À voir.
Mais même sans préciser lesquelles, on y dit bien que les tâches sont différentes. Donc une ophidra pourrait choisir son genre en fonction de ses appétences (pour les tâches ! Pas pour le sexe ! Suivez un peu).
Bref. J'aimerais bien des cas concrets où c'est important pour une ra de préciser son genre : est-ce qu'il y a des boulots / positions / rangs, qui ne sont accessibles qu'à certaines conditions ? Et si oui, qu'est-ce que ça implique d'autre ? Est-ce c'est quelque chose qu'on abandonne facilement en quittant le boulot (comme son masque ou son uniforme, par exemple) ? D'où ça vient, d'avoir associé le genre à ce boulot / cette position ? Pourquoi ? Mais pourquoi ?
Et puis, tant que j'en étais à réfléchir sur le sujet, j'ai repensé aux discussions sur les vêtements. Et sur le fait qu'un vêtement « masculin » (à l'époque, on n'avait pas trop précisé le sens) aurait le même aspect sur un personnage mâle ou femelle, afin de permettre à chacune de s'habiller, et de s'afficher , comme elle veut. Ça va super bien avec l'idée précédente. Et tant qu'à y être, ça permet aussi d'avoir des vêtements « pas genrés », qui vont à tout le monde, ou en tous cas à toutes celles qui n'éprouvent pas le besoin de se dire mâle ou femelle pour le boulot.
Bon, d'accord, ça ne répond pas à la question du « pourquoi » qui me taraude depuis quelques paragraphes.
Mais en plus, ça m'a (oui, encore) posé une autre question : la plupart des races ont peu ou pas de dimorphisme sexuel (je ne vous remets pas tous les liens, vous pouvez aller voir les descriptions des races sur l'UM1 : les quetzara sont la seule exception). Du coup, est-ce que c'est comme les nains de Pratchett (pour ceux qui n'ont pas lu, nains et naines se ressemblent tellement que la partie la plus délicate quand on se fait la cour est d'essayer de déterminer si l'individu en face est, justement, un nain ou une naine), ou est-ce que le dimorphisme est quand même suffisamment marqué pour qu'on sache quelle plomberie il y a en face (non, cet article n'est pas poétique. Surtout à l'heure où je l'écris), ou bien les ra l'affichent d'une manière ou d'une autre (vêtement, bijou, tatouage, autre)... et on en revient, peut-être, ou pas, à un mélange des genres.
Bref... J'aimerais bien avoir d'autres avis, ou d'autres réflexions sur le sujet.
Dernier message par YannK - 18 Avril 2025 à 09:34:33
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Ce sujet est clos, depuis la migration vers Forgejo, la forge a changé dans la façon dont elle fonctionne.
Dernier message par Lyne - 16 Janvier 2025 à 23:05:26
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En attendant que quelqu'un se sente le courage de faire un résumé, voilà le log brut des discussions du 16/01/2025 sur le sujet
Spoiler for Hiden:
Dernier message par Zatalyz - 14 Janvier 2025 à 13:35:18
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Je n'ai pas fouillé toutes les archives donc j'ai sans doute loupé des trucs.
On a parlé ici et là de "magie" et autres phénomènes surnaturels, sans trop préciser les détails. Or ça me bloque par moment quand j'ai envie de raconter des histoires, sans trop savoir sur quoi me baser et plus précisément : comment ça marche ? OK, TGCM, mais au delà de ça ? Il y a des différences entre une magie façon Final Fantaisy VII ou Donjon&Dragon 3.5.
Je vous pose quelques trucs un peu en vrac, j'attends vos idées pour améliorer ça
"Magie" reste un terme fourre-tout décrivant plusieurs mécanismes. Je vois plusieurs trucs assez différents.
== Magie ordinante ou de la Crypte ==
Basée sur les théories ordinantes, c'est une magie très rationnelle qui demande d'utiliser un langage précis, et où une erreur de syntaxe peut avoir de graves conséquences. La magie brute, à base de "ça passe, ça passe pas" (ou 0/1) a depuis longtemps été apprivoisée par le biais de sorts plus haut niveau permettant de manipuler des "démons", entités plus ou moins conscientes (et parfois plus manifestation d'énergie que seule entité).
C'est une magie utilisée sous le contrôle des instances du Khanat, car elle permet de "lire" des données cachées dans le tissu du monde et d'en changer la nature. On peut cependant envisager que des Mages écrivent voir appliquent des scripts "illégaux" à l'occasion (sachant que la Polcie ET la Crypte vont les traquer dès qu'ils seront repérés ; pas facile d'être hacker non officiel).
Cette magie s'envisage vraiment avec l'importance des mots, qu'ils soient écrits sur des parchemins, codés dans des krili, prononcés à voix haute ou dessiné à la craie sur un pentacle. Magie Ordinante = Mots de Pouvoirs (ou glyphes), à combiner.
Elle a aussi très probablement des "grades" : avant d'avoir été initié et introduit à un certain niveau, l'usage des glyphes n'a pas d'effet. Un ra de base qui déclare "sudo eremef slash" ne risque pas de faire s'effondrer le monde... la Reine Rouge, par contre...
Étape pour lancer un sort :
- Avoir la connaissance des Glyphes (ce qui amène aussi tout un tas de recherches pour découvrir les Glyphes qui agissent sur le monde) et des démons qu'ils appellent
- Avoir le niveau requis pour ce qu'on s'apprête à faire (conséquence sinon ? "Erreur magique 404" ?)
- Construire l'incantation, en payant le prix que le ou les démons appelés vont demander => usage de composants ?
Il est possible d'utiliser des artefacts, ayant des Glyphes préenregistrés, parfois avec le paiement inclus.
== Magie Onirique ==
Connectée à (et alimenté par) la psychée collective, c'est une énergie diffuse et intuitive, directement en lien avec la capacité de chaque ra à impacter le monde. Plus spirituelle, cette magie demande avant tout de jouer avec les émotions et ressentis, et les rituels associés à ses pratiques sont avant tout pour se mettre dans le bon état d'esprit.
Pratiquée avant tout par les divers ordres chamaniques, la pratique a mis en autre les totems sur le devant de la scène : agissant comme catalyseur d'une facette, d'une émotion ou d'une partie du monde/du ra, l'appel et le lien entretenu avec son totem est une forme de clé déverouillant l'accès à diverses actions, dont des transformations corporelles ou des états spirituels transformés (est-ce que je me transforme en pendo, ou est-ce que mon esprit est dans le corps d'un pendo ? Ou encore mon esprit matérialise un pendo et se l'approprie et rend mon corps réel indétectable ?). Cela permet aussi de voyager dans le Monde des Rêves et donc d'impacter la réalité à travers ce dernier.
Étape pour lancer un sort :
- Se mettre en phase (via des danses, rituels, chants, drogues...), potentiellement en appelant son/des totem(s), esprits, "dieux".
- Avoir la force mentale de garder son individualité ou prendre le risque de se perdre dans son "sort" durant tout l'effet de ce dernier (ce qui se traduit parfois par "ben finalement, j'ai roupillé").
- Je ne sais pas trop, concrètement et pour refléter ça en jeu, comment on "lance" le sort.
== Magie mixte dite "lakne&zbasu" (ou probabiliste ?) ==
On pourrait estimer que la magie ordinante est plus zbasu, et l'onirique plus lakne, même s'il faut toujours un savant équilibre dans chaque cas. Mais il est aussi probable que certains ra se sentent capables de mixer les approches, combinant approche rationnelle, scientifique, et état émotionnels, sensitif. Cela permettrait divers petits sorts à l'impact limité sur la Réalité : altérer un peu les probabilités, ajuster subtilement l'environnement (en rendant le sol plus instable sous les pieds du Njébé qui nous poursuit par exemple). Je vois cette magie comme ayant bien moins de potentiel "gros bill" que les deux autres : plus simple à mettre en œuvre, sans grand risque, sans grands effets non plus. C'est au niveau d'acheter un verrou "magique" ou de changer le goût de l'eau. Bien que ce soit facile d'accès, la plupart des ra en font un usage modéré... tout simplement parce que ce n'est pas forcément utile par rapport à d'autres façons de faire.
Étape pour lancer un sort :
- Connaitre le sort (= glyphe) ET se mettre dans le bon état d'esprit (=> focalisateur)
- Lancer le sort et en payer le prix.
Concernant les aspects gameplay
Je verrais bien ceci :
- Le coût d'un sort est basé sur un chiffre, reflétant l'énergie nécessaire, qui peut être payée avec des objets, avec l'énergie mentale (monte le niveau d'Oubli temporaire), physique (Souffrance), ou avec sa vie même (Trauma). Cela pourrait aussi agir (suivant les sorts) sur d'autres éléments du ra : sa "chance" par exemple, qui va diminuer avec le temps, mais ça demanderait qu'on affine les caractéristiques gameplay générales.
- Modificateurs liés à l'environnement : bonus si on lance un sort ordinant dans la Crypte, par exemple ; malus si le sort est "lakne" et la zone "zbasu", bonus si on a fait un rituel avec un cercle d'invocation, etc. Ces modificateurs vont faire que le sort va demander plus ou moins d'énergie à être lancé, avoir un effet plus ou moins important.
- Les sorts sont orientés lakne ou zbasu (indépendament de si c'est ordinant, onirique ou autre) et les lancer a *toujours* un impact sur la zone. Plus ils demandent d'énergie et plus leur impact sera important. Un sort lakne va faire baisser (ou augmenter ?) lakne dans la zone, idem côté zbasu, ce qui peut mener à plusieurs choses : modifier temporairement ou de façon durable la coloration de la zone et si ces modifications sont trop fréquentes, mener à une fenra plus ou moins importante. Ouais, ça met un bon enjeu à utiliser la magie de façon abusive, bien que la plupart des zones aient la capacité d'encaisser un nombre important de sorts sans trop changer. Mais dans les zones fragiles...
On a parlé ici et là de "magie" et autres phénomènes surnaturels, sans trop préciser les détails. Or ça me bloque par moment quand j'ai envie de raconter des histoires, sans trop savoir sur quoi me baser et plus précisément : comment ça marche ? OK, TGCM, mais au delà de ça ? Il y a des différences entre une magie façon Final Fantaisy VII ou Donjon&Dragon 3.5.
Je vous pose quelques trucs un peu en vrac, j'attends vos idées pour améliorer ça

"Magie" reste un terme fourre-tout décrivant plusieurs mécanismes. Je vois plusieurs trucs assez différents.
== Magie ordinante ou de la Crypte ==
Basée sur les théories ordinantes, c'est une magie très rationnelle qui demande d'utiliser un langage précis, et où une erreur de syntaxe peut avoir de graves conséquences. La magie brute, à base de "ça passe, ça passe pas" (ou 0/1) a depuis longtemps été apprivoisée par le biais de sorts plus haut niveau permettant de manipuler des "démons", entités plus ou moins conscientes (et parfois plus manifestation d'énergie que seule entité).
C'est une magie utilisée sous le contrôle des instances du Khanat, car elle permet de "lire" des données cachées dans le tissu du monde et d'en changer la nature. On peut cependant envisager que des Mages écrivent voir appliquent des scripts "illégaux" à l'occasion (sachant que la Polcie ET la Crypte vont les traquer dès qu'ils seront repérés ; pas facile d'être hacker non officiel).
Cette magie s'envisage vraiment avec l'importance des mots, qu'ils soient écrits sur des parchemins, codés dans des krili, prononcés à voix haute ou dessiné à la craie sur un pentacle. Magie Ordinante = Mots de Pouvoirs (ou glyphes), à combiner.
Elle a aussi très probablement des "grades" : avant d'avoir été initié et introduit à un certain niveau, l'usage des glyphes n'a pas d'effet. Un ra de base qui déclare "sudo eremef slash" ne risque pas de faire s'effondrer le monde... la Reine Rouge, par contre...
Étape pour lancer un sort :
- Avoir la connaissance des Glyphes (ce qui amène aussi tout un tas de recherches pour découvrir les Glyphes qui agissent sur le monde) et des démons qu'ils appellent
- Avoir le niveau requis pour ce qu'on s'apprête à faire (conséquence sinon ? "Erreur magique 404" ?)
- Construire l'incantation, en payant le prix que le ou les démons appelés vont demander => usage de composants ?
Il est possible d'utiliser des artefacts, ayant des Glyphes préenregistrés, parfois avec le paiement inclus.
== Magie Onirique ==
Connectée à (et alimenté par) la psychée collective, c'est une énergie diffuse et intuitive, directement en lien avec la capacité de chaque ra à impacter le monde. Plus spirituelle, cette magie demande avant tout de jouer avec les émotions et ressentis, et les rituels associés à ses pratiques sont avant tout pour se mettre dans le bon état d'esprit.
Pratiquée avant tout par les divers ordres chamaniques, la pratique a mis en autre les totems sur le devant de la scène : agissant comme catalyseur d'une facette, d'une émotion ou d'une partie du monde/du ra, l'appel et le lien entretenu avec son totem est une forme de clé déverouillant l'accès à diverses actions, dont des transformations corporelles ou des états spirituels transformés (est-ce que je me transforme en pendo, ou est-ce que mon esprit est dans le corps d'un pendo ? Ou encore mon esprit matérialise un pendo et se l'approprie et rend mon corps réel indétectable ?). Cela permet aussi de voyager dans le Monde des Rêves et donc d'impacter la réalité à travers ce dernier.
Étape pour lancer un sort :
- Se mettre en phase (via des danses, rituels, chants, drogues...), potentiellement en appelant son/des totem(s), esprits, "dieux".
- Avoir la force mentale de garder son individualité ou prendre le risque de se perdre dans son "sort" durant tout l'effet de ce dernier (ce qui se traduit parfois par "ben finalement, j'ai roupillé").
- Je ne sais pas trop, concrètement et pour refléter ça en jeu, comment on "lance" le sort.
== Magie mixte dite "lakne&zbasu" (ou probabiliste ?) ==
On pourrait estimer que la magie ordinante est plus zbasu, et l'onirique plus lakne, même s'il faut toujours un savant équilibre dans chaque cas. Mais il est aussi probable que certains ra se sentent capables de mixer les approches, combinant approche rationnelle, scientifique, et état émotionnels, sensitif. Cela permettrait divers petits sorts à l'impact limité sur la Réalité : altérer un peu les probabilités, ajuster subtilement l'environnement (en rendant le sol plus instable sous les pieds du Njébé qui nous poursuit par exemple). Je vois cette magie comme ayant bien moins de potentiel "gros bill" que les deux autres : plus simple à mettre en œuvre, sans grand risque, sans grands effets non plus. C'est au niveau d'acheter un verrou "magique" ou de changer le goût de l'eau. Bien que ce soit facile d'accès, la plupart des ra en font un usage modéré... tout simplement parce que ce n'est pas forcément utile par rapport à d'autres façons de faire.
Étape pour lancer un sort :
- Connaitre le sort (= glyphe) ET se mettre dans le bon état d'esprit (=> focalisateur)
- Lancer le sort et en payer le prix.
Concernant les aspects gameplay
Je verrais bien ceci :
- Le coût d'un sort est basé sur un chiffre, reflétant l'énergie nécessaire, qui peut être payée avec des objets, avec l'énergie mentale (monte le niveau d'Oubli temporaire), physique (Souffrance), ou avec sa vie même (Trauma). Cela pourrait aussi agir (suivant les sorts) sur d'autres éléments du ra : sa "chance" par exemple, qui va diminuer avec le temps, mais ça demanderait qu'on affine les caractéristiques gameplay générales.
- Modificateurs liés à l'environnement : bonus si on lance un sort ordinant dans la Crypte, par exemple ; malus si le sort est "lakne" et la zone "zbasu", bonus si on a fait un rituel avec un cercle d'invocation, etc. Ces modificateurs vont faire que le sort va demander plus ou moins d'énergie à être lancé, avoir un effet plus ou moins important.
- Les sorts sont orientés lakne ou zbasu (indépendament de si c'est ordinant, onirique ou autre) et les lancer a *toujours* un impact sur la zone. Plus ils demandent d'énergie et plus leur impact sera important. Un sort lakne va faire baisser (ou augmenter ?) lakne dans la zone, idem côté zbasu, ce qui peut mener à plusieurs choses : modifier temporairement ou de façon durable la coloration de la zone et si ces modifications sont trop fréquentes, mener à une fenra plus ou moins importante. Ouais, ça met un bon enjeu à utiliser la magie de façon abusive, bien que la plupart des zones aient la capacité d'encaisser un nombre important de sorts sans trop changer. Mais dans les zones fragiles...
Dernier message par Lyne - 19 Décembre 2024 à 22:07:49
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Discussion du 14/12/2024 sur "comment les ra classent les êtres vivants, sur quels critères ?", sachant que tout est parti de la question de savoir si on pouvait mettre que les ucikara étaient humanoïdes (et les quetzara des aviaires)
En résumé :
Nous envisageons une classifications selon plusieurs thématiques, chacune d'entre elles se déclinant sur plusieurs axes (en toile d'araignée) : mode d'alimentation, de déplacement, nombre et type de membres...
Des espèces dont les graphes sont similaires sont de proches cousins. Mais on peut les distinguer en "zoomant" sur les graphes, c'est-à-dire en affinant certains critères.
Ci-dessous, le début de la conversation (premier spoiler) qui n'avait pas forcément de rapport. Et la partie intéressante dans le deuxième spoiler.
Le tout, à reporter et utiliser dans l'UM1.
En résumé :
Nous envisageons une classifications selon plusieurs thématiques, chacune d'entre elles se déclinant sur plusieurs axes (en toile d'araignée) : mode d'alimentation, de déplacement, nombre et type de membres...
Des espèces dont les graphes sont similaires sont de proches cousins. Mais on peut les distinguer en "zoomant" sur les graphes, c'est-à-dire en affinant certains critères.
Ci-dessous, le début de la conversation (premier spoiler) qui n'avait pas forcément de rapport. Et la partie intéressante dans le deuxième spoiler.
Le tout, à reporter et utiliser dans l'UM1.
Spoiler for Hiden:
Spoiler for Hiden:
Dernier message par Lyne - 08 Décembre 2023 à 22:40:55
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Pour garder trace, les logs de discussion de début décembre 2023 sur le parcours du Tsari'e dans les Plaines, des secrets inavouables sur pourquoi l'Arène, des considérations sur Istmir, des calculs sur la taille du continent... Plein de choses qu'il faudra mettre dans l'UM1 (#yakafokon).
Spoiler for Logs du 03/12/2023:
Spoiler for Et logs du 07/12/2023:
Dernier message par YannK - 02 Septembre 2023 à 10:32:15
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Vous avez trois voix chacune, merci d'indiquer vos trois directions possibles préférées.









