Si le travail n'est pas fini, blâme les melcipnis qui t'ont distrait.
Si tu parles, agis. Si tu n'agis pas, tais-toi.
Avec des “si”, Natca se tient dans le creux de ma main.
On ne fait pas d'omelette sans casser des œufs. Mais rien ne t'oblige à faire une omelette.
Celui qui mord finira muselé.
Les njébé feulent, la caravane passe.
Dépense ce que tu possède aujourd'hui, nul ne sait où seront les Brumes demain.
Peigne le mehteh l'été, tu auras chaud tout l'hiver.
Peut-être que tu sais déjà tout ce qu'il y a à rêver.
N'est pas au port ce qui à jamais dort.
Manque de ressort celle qui à jamais dort.
Toutes les gamelles de la maison appartiennent au groska.
Le murbaz dans la maison n'est pas forcément celui qui porte la fourrure.
Où la mumut passe, la poussière trépasse.
Le premier pas pour un monde meilleur est de le rêver maintenant.
Invasion de cnovol, fenra s'affole.
Qui rêve de combat souffrira. Qui rêve de jardin mangera.
Si'arso'a. Respecte ton origine et ta fin.
Un mot aimable est comme un jour de printemps.
Crains moins le délit que la venue du Juge.
Un fou qui court va plus loin qu'un sage assis.
Un sage assis pense plus loin qu'un fou qui court.
Mieux vaut sa maison pleine d'amis que pleine de din.
Rêve fort et n'arrête jamais d'agir.
Tant va la peluche à l'eau qu'à la fin elle déteint.
Qui te donne le rôle du méchant, n'est pas innocent.
Rêver, c'est bien, à plusieurs, c'est mieux.
Si ça bouge, c'est culno, si c'est froid c'est ratmidju.
Avec du farespa, à pleins pots tu rêveras.
Chaque matin, un nouvel Éon !
La gourmandise est un défaut savoureux.
Ça ne mange pas de dentelle.
Mage qui court ne roule pas sur la mousse.