Derniers messages
Dernier message par Mopi - 18 Octobre 2020 à 16:03:14
Cliquez pour afficher le message
Bonjour, bonsoir bonnes gens de Khaganat.
En Novembre se passe le célèbre NanoWriMo qui consiste à écrire un bouquin en un mois en écrivant tous les jours.
C'est un gros marathon, bien dense mais j'ai des idées sur comment le rendre plus accessible et sympathique : le faire en communauté et ne pas viser un livre, mais une collection d'histoire.
Je propose donc que nous nous engageons en tant que communauté à écrire tous les jours de Novembre. C'est à dire, à ce qu'il y ai un écrit qui apparaisse quotidiennement sur ce fil, quel que soit sa taille, le rapport avec l'écrit précédent, ou son auteur selon ces règles :
* l'écrit doit prendre place dans l'univers du Khanat, mais ne doit pas forcément en respecter toutes les règles (si vous ne connaissez pas le monde sur le bout de vos doigts, pas de soucis, et au contraire, ça pourra donner des idées sympa). L'idée est de respecter les bases, les Ra, les rêves et le Khan.
* un écrit de cinq mots sera tout aussi valable qu'un de 13 000
* il n'y a pas de problème à ce qu'une personne poste pendant une semaine d'affilée
* plusieurs posts par jours sont aussi acceptés
* un écrit peut être la suite du précédent, parler de tout autre chose, ou revenir sur un plus ancien (mais dans ce cas là, citer l'écrit pour qu'on s'y retrouve)
Ainsi, même si vous n'avez pas le temps, vous pourrez quand même participer. Le marathon ne sera pas aussi éreintant vu que ce ne sera pas une seule personne qui écrira tout, et ça résultera en plein d'histoires petites ou grande.
En Novembre se passe le célèbre NanoWriMo qui consiste à écrire un bouquin en un mois en écrivant tous les jours.
C'est un gros marathon, bien dense mais j'ai des idées sur comment le rendre plus accessible et sympathique : le faire en communauté et ne pas viser un livre, mais une collection d'histoire.
Je propose donc que nous nous engageons en tant que communauté à écrire tous les jours de Novembre. C'est à dire, à ce qu'il y ai un écrit qui apparaisse quotidiennement sur ce fil, quel que soit sa taille, le rapport avec l'écrit précédent, ou son auteur selon ces règles :
* l'écrit doit prendre place dans l'univers du Khanat, mais ne doit pas forcément en respecter toutes les règles (si vous ne connaissez pas le monde sur le bout de vos doigts, pas de soucis, et au contraire, ça pourra donner des idées sympa). L'idée est de respecter les bases, les Ra, les rêves et le Khan.
* un écrit de cinq mots sera tout aussi valable qu'un de 13 000
* il n'y a pas de problème à ce qu'une personne poste pendant une semaine d'affilée
* plusieurs posts par jours sont aussi acceptés
* un écrit peut être la suite du précédent, parler de tout autre chose, ou revenir sur un plus ancien (mais dans ce cas là, citer l'écrit pour qu'on s'y retrouve)
Ainsi, même si vous n'avez pas le temps, vous pourrez quand même participer. Le marathon ne sera pas aussi éreintant vu que ce ne sera pas une seule personne qui écrira tout, et ça résultera en plein d'histoires petites ou grande.
Dernier message par Zatalyz - 17 Juin 2018 à 10:28:39
Cliquez pour afficher le message
[HRP]
Vous trouverez une présentation plus générale de l'histoire racontée ici sur la mediateki
Vous pouvez participer à l'histoire comme vous le voulez, y compris en reprenant la voix de personnages que j'utilise. Laissez-moi juste raconter à quoi ressemble Honneur (ce qui n'est pas pour tout de suite). En fait, j'adorerais que nous racontions ensemble... quelque chose, peu importe le format
[/HRP]
Courtoisie fut le point de départ de cette quête, qui devait se révéler aussi épique que stupide.
J'étais à Va'itu'a pour une de ces innombrables réceptions que donnait la Cour en l'honneur des héroïnes du Khanat. Quiconque a eu une fois l'occasion d'assister à une de ces fêtes en garde un souvenir impérissable de faste et de démesure, bien loin du quotidien fort simple de la plupart des ra. Quiconque a l'occasion d'assister à ces galas régulièrement en garde l'effroi secret du nid de vidvoi et l'ennui du déjà vu. Cela faisait déjà quelque temps que je me rangeais dans le second groupe, et j'étais à ce moment de la vie où l'on hésite entre laisser peu à peu l'Oubli recouvrir nos souvenirs ou se lancer dans des entreprises un peu trop audacieuses. C'est dans cette période de doute que la Reine Rouge décida de se montrer à l'une de ces réceptions de Va'itu'a, un soir où j'étais aussi présent.
C'était la première fois que je croisais sa route. N'ayant guère de goût pour la magie ou les intrigues de Cour, je n'avais jamais eu l'occasion de la voir directement, et j'en connaissais ce que tout le monde en sait : un être hors du commun, peut-être un peu plus qu'une ra, dont les caprices pouvaient influencer la trame du Khanat, qu'elle servait cependant avec dévotion.
L'apparition ce soir-là se situait sur un autre plan, qui n'était pas que spirituel. À son arrivée, un grand silence se fit. Précédée de ses Cartes, les mages du plus haut niveau qui constituent sa garde ou sa cour, elle pénétra dans la salle d'une allure royale. Un peu plus grande que la majorité des ra, sa robe couleur grenat virevoltait contre ses chevilles, tandis que sa longue chevelure de flamme dansait dans le creux de ses reins, comme animée d'une vie propre. Son masque d'or et de rubis laissait juste apparaître une bouche purpurine aux lèvres pulpeuses et ses longs ongles écarlates étaient comme des griffes de sang sur le manche de sa hache, qu'elle tenait sur son épaule. Je n'aurais su dire si elle était tcara ou ucikara : des premières, elle tenait la silhouette élancée et la blancheur d'albâtre de la peau, des secondes les rondeurs voluptueuses et la démarche ondoyante. L'ensemble produisait un effet extraordinaire, renforcé par la présence extraordinaire qui émanait d'elle. Cela, plus que tout le reste, contribuait à l'impact que sa présence avait sur la salle ; j'avais beau être à une certaine distance, je sentais le poids vertigineux de son aura. Je me sentais parcouru d'un feu invisible, incapable de détacher mes yeux d'elle, et si, à ce moment, elle m'avait donné un ordre stupide, je l'aurais accompli avec célérité et gratitude. Je finis par rompre le charme dans lequel elle me tenait, de même que les autres personnes autour de moi, et nous avons tenté de reprendre nos conversations, essayant de retrouver l'air blasé de mise à la Cour. Les courtisanes les plus aguerries se reprirent plus rapidement et la fête reprit comme à l'ordinaire ; pourtant la présence de la Reine apportait une note nouvelle à la soirée, qui nous électrisait tous et nous donnait envie d'en rajouter dans les rires et les vantardises.
De temps à autre, je glissais un regard dans sa direction, évitant soigneusement de croiser son regard flamboyant. Moi qui croyais avoir vu tout ce qu'il y avait à voir dans le Khanat, je prenais soudain conscience de ma jeunesse et de ma suffisance. Hypnotisé comme un papillon devant une flamme, je rêvais de percer les mystères de cet être et de celles de son genre. La rencontre avec la Reine Rouge réveillait en moi une insatisfaction primordiale, une incomplétude que je croyais comblée depuis ma rencontre avec le Khan, quelques jeftu plus tôt. Je brûlais d'explorer, de savoir, de comprendre.
Au cours de ces regards dérobés, mon intérêt se détacha peu à peu de la Reine pour aller à sa hache. Bien que d'une taille impressionnante, elle la portait comme si elle était aussi légère qu'une plume. La base de l'arme était dans un métal sombre, presque noir, aux curieux reflets bleutés, sur lequel étaient gravés des arabesques et ce qui semblait être des mots, lesquels étaient mis en relief par de l'or et du cuivre parcouru de reflets rutilants. Plus je la regardais et plus je ressentais une épouvante intérieure, saisie de la croyance absurde que cette hache n'était pas complètement de ce monde. Idée aberrante s'il en est, mais que je devais valider plus tard en découvrant des récits d'individus perdus dans le monde des Rêves et qui avaient pu admirer les mérites de l'arme.
Cela me frappa alors comme une évidence. Que savait-on réellement de Courtoisie, la hache de la Reine Rouge ? D'où venait son nom ? Cette arme était-elle la seule de son genre ? Fébrilement, je consultais la base de données dans mon kom. L'article de l'UM1 était fort léger et n'indiquait même pas les légendes que j'avais pu entendre sur l'arme. Ma quête m'apparut alors dans toute son ampleur : je collecterais désormais le savoir sur les armes légendaires, et j'irais trouver ces dernières afin de pouvoir en donner une représentation précise et complète.
Oubliant les personnes avec qui j'étais venu ce soir-là, je quittais la réception, me rendant directement à la Grande Bibliothèque, où je passais plusieurs jours en oubliant presque de me nourrir et de manger.
Vous trouverez une présentation plus générale de l'histoire racontée ici sur la mediateki
Vous pouvez participer à l'histoire comme vous le voulez, y compris en reprenant la voix de personnages que j'utilise. Laissez-moi juste raconter à quoi ressemble Honneur (ce qui n'est pas pour tout de suite). En fait, j'adorerais que nous racontions ensemble... quelque chose, peu importe le format
[/HRP]
Courtoisie fut le point de départ de cette quête, qui devait se révéler aussi épique que stupide.
J'étais à Va'itu'a pour une de ces innombrables réceptions que donnait la Cour en l'honneur des héroïnes du Khanat. Quiconque a eu une fois l'occasion d'assister à une de ces fêtes en garde un souvenir impérissable de faste et de démesure, bien loin du quotidien fort simple de la plupart des ra. Quiconque a l'occasion d'assister à ces galas régulièrement en garde l'effroi secret du nid de vidvoi et l'ennui du déjà vu. Cela faisait déjà quelque temps que je me rangeais dans le second groupe, et j'étais à ce moment de la vie où l'on hésite entre laisser peu à peu l'Oubli recouvrir nos souvenirs ou se lancer dans des entreprises un peu trop audacieuses. C'est dans cette période de doute que la Reine Rouge décida de se montrer à l'une de ces réceptions de Va'itu'a, un soir où j'étais aussi présent.
C'était la première fois que je croisais sa route. N'ayant guère de goût pour la magie ou les intrigues de Cour, je n'avais jamais eu l'occasion de la voir directement, et j'en connaissais ce que tout le monde en sait : un être hors du commun, peut-être un peu plus qu'une ra, dont les caprices pouvaient influencer la trame du Khanat, qu'elle servait cependant avec dévotion.
L'apparition ce soir-là se situait sur un autre plan, qui n'était pas que spirituel. À son arrivée, un grand silence se fit. Précédée de ses Cartes, les mages du plus haut niveau qui constituent sa garde ou sa cour, elle pénétra dans la salle d'une allure royale. Un peu plus grande que la majorité des ra, sa robe couleur grenat virevoltait contre ses chevilles, tandis que sa longue chevelure de flamme dansait dans le creux de ses reins, comme animée d'une vie propre. Son masque d'or et de rubis laissait juste apparaître une bouche purpurine aux lèvres pulpeuses et ses longs ongles écarlates étaient comme des griffes de sang sur le manche de sa hache, qu'elle tenait sur son épaule. Je n'aurais su dire si elle était tcara ou ucikara : des premières, elle tenait la silhouette élancée et la blancheur d'albâtre de la peau, des secondes les rondeurs voluptueuses et la démarche ondoyante. L'ensemble produisait un effet extraordinaire, renforcé par la présence extraordinaire qui émanait d'elle. Cela, plus que tout le reste, contribuait à l'impact que sa présence avait sur la salle ; j'avais beau être à une certaine distance, je sentais le poids vertigineux de son aura. Je me sentais parcouru d'un feu invisible, incapable de détacher mes yeux d'elle, et si, à ce moment, elle m'avait donné un ordre stupide, je l'aurais accompli avec célérité et gratitude. Je finis par rompre le charme dans lequel elle me tenait, de même que les autres personnes autour de moi, et nous avons tenté de reprendre nos conversations, essayant de retrouver l'air blasé de mise à la Cour. Les courtisanes les plus aguerries se reprirent plus rapidement et la fête reprit comme à l'ordinaire ; pourtant la présence de la Reine apportait une note nouvelle à la soirée, qui nous électrisait tous et nous donnait envie d'en rajouter dans les rires et les vantardises.
De temps à autre, je glissais un regard dans sa direction, évitant soigneusement de croiser son regard flamboyant. Moi qui croyais avoir vu tout ce qu'il y avait à voir dans le Khanat, je prenais soudain conscience de ma jeunesse et de ma suffisance. Hypnotisé comme un papillon devant une flamme, je rêvais de percer les mystères de cet être et de celles de son genre. La rencontre avec la Reine Rouge réveillait en moi une insatisfaction primordiale, une incomplétude que je croyais comblée depuis ma rencontre avec le Khan, quelques jeftu plus tôt. Je brûlais d'explorer, de savoir, de comprendre.
Au cours de ces regards dérobés, mon intérêt se détacha peu à peu de la Reine pour aller à sa hache. Bien que d'une taille impressionnante, elle la portait comme si elle était aussi légère qu'une plume. La base de l'arme était dans un métal sombre, presque noir, aux curieux reflets bleutés, sur lequel étaient gravés des arabesques et ce qui semblait être des mots, lesquels étaient mis en relief par de l'or et du cuivre parcouru de reflets rutilants. Plus je la regardais et plus je ressentais une épouvante intérieure, saisie de la croyance absurde que cette hache n'était pas complètement de ce monde. Idée aberrante s'il en est, mais que je devais valider plus tard en découvrant des récits d'individus perdus dans le monde des Rêves et qui avaient pu admirer les mérites de l'arme.
Cela me frappa alors comme une évidence. Que savait-on réellement de Courtoisie, la hache de la Reine Rouge ? D'où venait son nom ? Cette arme était-elle la seule de son genre ? Fébrilement, je consultais la base de données dans mon kom. L'article de l'UM1 était fort léger et n'indiquait même pas les légendes que j'avais pu entendre sur l'arme. Ma quête m'apparut alors dans toute son ampleur : je collecterais désormais le savoir sur les armes légendaires, et j'irais trouver ces dernières afin de pouvoir en donner une représentation précise et complète.
Oubliant les personnes avec qui j'étais venu ce soir-là, je quittais la réception, me rendant directement à la Grande Bibliothèque, où je passais plusieurs jours en oubliant presque de me nourrir et de manger.
Dernier message par Zatalyz - 11 Mars 2016 à 12:09:24
Cliquez pour afficher le message
Zatalyz se chauffe les mains près du feu
Zatalyz garde un oeil sur la petite démone
Zatalyz dit : Tepsne, viens par là !
Zatalyz dit : Tu es aussi désobéissant qu'un démon...
Velociraptux dit : Prend exemple sur Pendorid
Zatalyz dit : oui, elle est assise sagement près du feu, pour une fois.
Lyno dit : coi
Velociraptux dit : coi
Zatalyz dit : coi la .lino
Velociraptux considère que Pendorid est sage.
Scoui dit : Scouicou !
Zatalyz regarde le feu, perdue dans ses pensées
Lyno essaye de refiler discrètement un peu de klum à pendorid
Zatalyz dit : Il y a bien longtemps...
Zatalyz dit : Si longtemps que la mémoire de cette histoire se transmet d'au delà les ras...
Zatalyz dit : Un oiseau de feu volait dans le ciel.
Zatalyz dit : Mais le ciel n'avait pas encore été rêvé. Il n'était que Néant.
Scoui appui sur le bidon de sa pluche: scouic!
Zatalyz dit : L'oiseau le traversait, dans un voyage sans fin.
Zatalyz dit : Cet oiseau était d'une nature double.
Zatalyz dit : Il contenait lakne et zbasu.
Zatalyz dit : Il était de froide mécanique, et de vivant esprit.
Fredi dit : ♬ ♪ Who wants to live forever? ♫ ♪
Zatalyz dit : Il était ici, et partout en même temps.
Lyno balance un bout de klum sur Fredi : Chut !
Zatalyz dit : Certains, ici, nomment l'esprit de cet oiseau "l'ordinance".
Zatalyz dit : L'oiseau, dans le néant infini du ciel,
Zatalyz dit : trouva alors l'oeuf des origines
Zatalyz dit : Notre monde, le Khanat.
Zatalyz dit : Mais son vol était si rapide
Zatalyz dit : Son feu si fort
Zatalyz dit : Qu'il ne su s'arrêter à temps.
Zatalyz dit : Il percuta l'oeuf.
Zatalyz dit : L'oeuf se fendit, et le Khanat naquit.
Scoui se demande si il y a aussi une rousse dans l'histoire et si il a un casque quelque part
Zatalyz dit : Cet histoire, tous les mythes de notre monde la raconte, sous une forme ou une autre...
Fredi dit : ♬ ♪ Who wants to live forever? ♫ ♪
Zatalyz dit : Mais ce que beaucoup de mythes oublient
Zatalyz dit : ce sont les secrets de l'esprit de l'Ordinance
Zatalyz regarde autour d'elle, le regard rêveur
Zatalyz dit : En d'autre temps, je n'oserais vous parler de cela
Zatalyz dit : ce sont des secrets que se transmettent quelques rares élus.
Zatalyz dit : Les initiés de haut niveau de la Crypte...
Velociraptux regarde pensivement Zatalyz.
Zatalyz dit : Les automates de la Police des Rêves...
Zatalyz dit : Le Khan, en secret, pour lui-même...
Zatalyz dit : Mais nous ne sommes pas dans un temps.
Zatalyz dit : Nous sommes dans le Lirri'a.
Zatalyz dit : Et vous serez les initiés de demain
Zatalyz dit : si les Brumes ne vous forcent pas à l'Oubli...
Fredi dit : ♩ ♪ Is this the real life? Is this just fantasy? ♫ ♪
Zatalyz baisse cependant encore la voix avant de révéler les secrets de ce monde
Zatalyz dit : Lorsque l'oiseau rencontra l'oeuf, son esprit se brisa, comme son corps
Zatalyz dit : sa nature zbasu se lia intimement à l'oeuf
Zatalyz dit : permettant la permanence de ce monde.
Zatalyz dit : Et sa nature lakne se mêla à l'esprit de l'oeuf...
Zatalyz dit : dans l'esprit de l'oiseau, certains mots résonnaient, à la toute fin.
Zatalyz dit : Démon.
Zatalyz dit : Balai.
Zatalyz dit : Carte.
Zatalyz dit : Amour.
Zatalyz dit : Des mots. De simples mots.
Zatalyz dit : Certains parlant d'objets sans pouvoir.
Zatalyz dit : D'autres, de concepts terribles.
Zatalyz dit : "Balai".
Zatalyz dit : Un mot si simple.
Zatalyz dit : Un objet si simple.
Zatalyz dit : Quelle civilisation pourrait naître, sans voir apparaitre, sous une forme ou une autre, ce genre d'ustensile ?
Lyno murmure : Une civilisation de scouis...
Scoui sourit
Zatalyz dit : pour séparer le dedans du dehors, la poussière de la terre.
Zatalyz dit : Mais la résonance de ce mot était forte, dans l'esprit de l'oiseau.
Zatalyz dit : Inlassablement, son écho résonne dans notre monde.
Zatalyz soupire, s'agite un peu.
Zatalyz a la voix qui devient soudain plus grave, plus chantante
Zatalyz dit : "Kaikyo, passe le balai !"
Fredi dit : ♩ ♪ Oh yes, I'm the great pretender ♩ ♬
Zatalyz dit : Elle lui disait, inlassablement
Zatalyz dit : par tyrannie, par jeu
Zatalyz dit : par amour aussi
Zatalyz prend une voix presque masculine : je rêve d'un monde sans balai.
Zatalyz dit : Sans balai...
Zatalyz dit : Jamais le balai ne sera évoqué.
Zatalyz éclate d'un rire moqueur, et reprend d'une voix plus féminine : Alors le balai sera.
Zatalyz dit : Le balai sera le monde...
Zatalyz cligne des yeux, et regarde les ras présents, comme si elle s'éveillait d'une transe.
Zatalyz dit : Ce sont de vieilles histoires, déformées par les éons. Et la vérité n'est jamais une.
Zatalyz dit : Les échos d'histoires... Les échos de rêves.
Zatalyz dit : Ils nous parviennent, et comment savoir ce qui est vrai ?
Zatalyz dit : Ce qui est vrai, c'est ce que nous rêvons, aujourd'hui.
Zatalyz dit : Et la façon dont notre volonté s'imprime dans le monde.
Zatalyz se tait enfin, se perdant de nouveau dans la contemplation du feu.
Velociraptux pense qu'elle veut découvrir cette vérité, et que par tous les moyens possible, elle la trouvera
Zatalyz constate que cette histoire laisse tout le monde rêveur...
Lyno grignote son klum
Scoui dit : Les balais c'est un truc de cuisinière pour t'empêcher de manger
Lyno dit : Quand on est un scoui, oui
Zatalyz dit : ou une mumut !
Velociraptux elle a déjà bien des idées, ou plutôt des intuitions, des signes qui lui sont apparue au fil du temps. Mais elle n'oserait en parlé ici. De peur de froisser les croyances de ses compagnons, ou de passer pour une illuminée
Scoui dit : Mais au delà du balai se cache la relique sacré le "Po'd confiote"
Zatalyz éclate de rire : toujours faire confiance aux scouis pour le sens des priorités !
Lyno dit : Ouais fin... Pas trop relique, quand même. Parce que le "Po'd confiote moisie", c'est un peu déchu...
Velociraptux dit : Moi le balai ca m'inspire plus que je devrais le passer plus souvent :p
Scoui dit : Moi je le passe souvent ! enfin je le dépasse souvent pour éviter d'en prendre un coup
Zatalyz dit : Peut-être qu'en le passant, tu seras illuminé !
Velociraptux dit : Que c'est il passé ensuite Zataliz?
Zatalyz dit : Quand ?
Zatalyz dit : Car ensuite, il y a eu des éons.
Zatalyz dit : Et d'autres éons.
Zatalyz dit : Des rêves, et des rêveurs.
Scoui dit : (cela dit entre pinceau et un balai la différence est mince :p)
Lyno dit : Voire même des tonnes de néons...
Zatalyz sourit à l'évocation de certains
Velociraptux dit : L'amour quand est il de l'amour?
Lyno dit : Y'en a un, tu dessines dans la poussière
Zatalyz dit : Ha, l'amour...
Scoui dit : celui de la bouffe?
Zatalyz dit : L'amour a fondé le monde.
Fredi dit : ♩ ♪ Is this the real life? Is this just fantasy? ♫ ♪
Zatalyz dit : Il l'a sublimé
Zatalyz dit : C'est grâce à l'amour que ce monde est si beau... et si terrible aussi.
Zatalyz dit : C'est la plus grande force de cohésion qui existe
Zatalyz dit : c'est aussi ce qui fait faire les choses les plus... absurdes. Dangereuses.
Scoui dit : ca c'est l'amour de la boisson
Lyno dit : Par exemple, l'amour du Pod'confiote peut conduire un scoui dans un balai
Zatalyz dit : par exemple !
Zatalyz dit : Il y a beaucoup de belles histoires d'amours qui ont émaillé les éons. Beaucoup d'histoires pathétiques aussi. Et certaines qui étaient dramatiques.
Fredi dit : ♩ ♪ We are the champions my friends ♫ ♬
Zatalyz sourit : mais là, il y aurait de quoi raconter durant quelques éons aussi !
Scoui dit : ouai y a l'amour de la musique aussi *jete un coup d'oeil a fredi*
Zatalyz dit : Et l'amour de l'art
Velociraptux dit : Je t'ai entendu parlait de dualité un jour, c'est de ca dont il sagis amour / haines joix /tristesse force et faiblesse?
Fredi dit : ♬ ♪ It's a kind of magic, A kind of magic, ♫ ♬
Zatalyz gratouille la tête de pendorid : ainsi que l'amour de la dentelle, qui est une forme d'amour très charnel !
Lyno fredonne : Dis par où, c'est la sortie d'secours...
Zatalyz dit : La dualité, c'est une façon simple de voir le monde. C'est une part de la vérité.
Scoui dit : Sac de grain et balai
Zatalyz dit : Une autre part de la vérité est que la dualité créé l'unité.
Scoui dit : pas de scoui sans sac de grain et pas de sac de grain sans balai
Zatalyz dit : La vérité peut aussi être que l'unité est la source de la multiplicité.
Scoui dit : et pas de balai sans scoui
Zatalyz dit : et qu'est-ce qu'un sac de grain, sinon des milliers de grains ?
Scoui dit : c'est le cercle de la vie !
Velociraptux dit :
Scoui dit : un scouis des million de poils et un balai aps mieux
Fredi dit : ♬ ♪ It's a kind of magic, A kind of magic, ♫ ♬
Zatalyz dit : qu'est-ce qu'un balai, sinon beaucoup de fibre et un peu de bois ?
Scoui dit : et le tout c'est une cuisiniere en colere
Zatalyz cherche à caser la cuisinière dans la métaphore, puis s'avoue que parfois, on ne peut pas tout comprendre
Lyno dit : Les cuisinières échappent à toute tentative de classification...
Scoui chuchotte du chaos nait la dynamique
Zatalyz baille : le soleil est encore haut, mais l'afflux et le reflux des Brumes me perturbe
Zatalyz dit : Je vais aller faire une sieste
Lyno dit : co'o
Zatalyz dit : Passez une bonne après-midi, et savourez ce monde
Zatalyz dit : co'o ro do
Velociraptux dit : co'o
Scoui dit : Bon reveil
Lyno dit : Je vais y aller aussi. co'o ro do
Zatalyz garde un oeil sur la petite démone
Zatalyz dit : Tepsne, viens par là !
Zatalyz dit : Tu es aussi désobéissant qu'un démon...
Velociraptux dit : Prend exemple sur Pendorid
Zatalyz dit : oui, elle est assise sagement près du feu, pour une fois.
Lyno dit : coi
Velociraptux dit : coi
Zatalyz dit : coi la .lino
Velociraptux considère que Pendorid est sage.
Scoui dit : Scouicou !
Zatalyz regarde le feu, perdue dans ses pensées
Lyno essaye de refiler discrètement un peu de klum à pendorid
Zatalyz dit : Il y a bien longtemps...
Zatalyz dit : Si longtemps que la mémoire de cette histoire se transmet d'au delà les ras...
Zatalyz dit : Un oiseau de feu volait dans le ciel.
Zatalyz dit : Mais le ciel n'avait pas encore été rêvé. Il n'était que Néant.
Scoui appui sur le bidon de sa pluche: scouic!
Zatalyz dit : L'oiseau le traversait, dans un voyage sans fin.
Zatalyz dit : Cet oiseau était d'une nature double.
Zatalyz dit : Il contenait lakne et zbasu.
Zatalyz dit : Il était de froide mécanique, et de vivant esprit.
Fredi dit : ♬ ♪ Who wants to live forever? ♫ ♪
Zatalyz dit : Il était ici, et partout en même temps.
Lyno balance un bout de klum sur Fredi : Chut !
Zatalyz dit : Certains, ici, nomment l'esprit de cet oiseau "l'ordinance".
Zatalyz dit : L'oiseau, dans le néant infini du ciel,
Zatalyz dit : trouva alors l'oeuf des origines
Zatalyz dit : Notre monde, le Khanat.
Zatalyz dit : Mais son vol était si rapide
Zatalyz dit : Son feu si fort
Zatalyz dit : Qu'il ne su s'arrêter à temps.
Zatalyz dit : Il percuta l'oeuf.
Zatalyz dit : L'oeuf se fendit, et le Khanat naquit.
Scoui se demande si il y a aussi une rousse dans l'histoire et si il a un casque quelque part
Zatalyz dit : Cet histoire, tous les mythes de notre monde la raconte, sous une forme ou une autre...
Fredi dit : ♬ ♪ Who wants to live forever? ♫ ♪
Zatalyz dit : Mais ce que beaucoup de mythes oublient
Zatalyz dit : ce sont les secrets de l'esprit de l'Ordinance
Zatalyz regarde autour d'elle, le regard rêveur
Zatalyz dit : En d'autre temps, je n'oserais vous parler de cela
Zatalyz dit : ce sont des secrets que se transmettent quelques rares élus.
Zatalyz dit : Les initiés de haut niveau de la Crypte...
Velociraptux regarde pensivement Zatalyz.
Zatalyz dit : Les automates de la Police des Rêves...
Zatalyz dit : Le Khan, en secret, pour lui-même...
Zatalyz dit : Mais nous ne sommes pas dans un temps.
Zatalyz dit : Nous sommes dans le Lirri'a.
Zatalyz dit : Et vous serez les initiés de demain
Zatalyz dit : si les Brumes ne vous forcent pas à l'Oubli...
Fredi dit : ♩ ♪ Is this the real life? Is this just fantasy? ♫ ♪
Zatalyz baisse cependant encore la voix avant de révéler les secrets de ce monde
Zatalyz dit : Lorsque l'oiseau rencontra l'oeuf, son esprit se brisa, comme son corps
Zatalyz dit : sa nature zbasu se lia intimement à l'oeuf
Zatalyz dit : permettant la permanence de ce monde.
Zatalyz dit : Et sa nature lakne se mêla à l'esprit de l'oeuf...
Zatalyz dit : dans l'esprit de l'oiseau, certains mots résonnaient, à la toute fin.
Zatalyz dit : Démon.
Zatalyz dit : Balai.
Zatalyz dit : Carte.
Zatalyz dit : Amour.
Zatalyz dit : Des mots. De simples mots.
Zatalyz dit : Certains parlant d'objets sans pouvoir.
Zatalyz dit : D'autres, de concepts terribles.
Zatalyz dit : "Balai".
Zatalyz dit : Un mot si simple.
Zatalyz dit : Un objet si simple.
Zatalyz dit : Quelle civilisation pourrait naître, sans voir apparaitre, sous une forme ou une autre, ce genre d'ustensile ?
Lyno murmure : Une civilisation de scouis...
Scoui sourit
Zatalyz dit : pour séparer le dedans du dehors, la poussière de la terre.
Zatalyz dit : Mais la résonance de ce mot était forte, dans l'esprit de l'oiseau.
Zatalyz dit : Inlassablement, son écho résonne dans notre monde.
Zatalyz soupire, s'agite un peu.
Zatalyz a la voix qui devient soudain plus grave, plus chantante
Zatalyz dit : "Kaikyo, passe le balai !"
Fredi dit : ♩ ♪ Oh yes, I'm the great pretender ♩ ♬
Zatalyz dit : Elle lui disait, inlassablement
Zatalyz dit : par tyrannie, par jeu
Zatalyz dit : par amour aussi
Zatalyz prend une voix presque masculine : je rêve d'un monde sans balai.
Zatalyz dit : Sans balai...
Zatalyz dit : Jamais le balai ne sera évoqué.
Zatalyz éclate d'un rire moqueur, et reprend d'une voix plus féminine : Alors le balai sera.
Zatalyz dit : Le balai sera le monde...
Zatalyz cligne des yeux, et regarde les ras présents, comme si elle s'éveillait d'une transe.
Zatalyz dit : Ce sont de vieilles histoires, déformées par les éons. Et la vérité n'est jamais une.
Zatalyz dit : Les échos d'histoires... Les échos de rêves.
Zatalyz dit : Ils nous parviennent, et comment savoir ce qui est vrai ?
Zatalyz dit : Ce qui est vrai, c'est ce que nous rêvons, aujourd'hui.
Zatalyz dit : Et la façon dont notre volonté s'imprime dans le monde.
Zatalyz se tait enfin, se perdant de nouveau dans la contemplation du feu.
Velociraptux pense qu'elle veut découvrir cette vérité, et que par tous les moyens possible, elle la trouvera
Zatalyz constate que cette histoire laisse tout le monde rêveur...
Lyno grignote son klum
Scoui dit : Les balais c'est un truc de cuisinière pour t'empêcher de manger
Lyno dit : Quand on est un scoui, oui
Zatalyz dit : ou une mumut !
Velociraptux elle a déjà bien des idées, ou plutôt des intuitions, des signes qui lui sont apparue au fil du temps. Mais elle n'oserait en parlé ici. De peur de froisser les croyances de ses compagnons, ou de passer pour une illuminée
Scoui dit : Mais au delà du balai se cache la relique sacré le "Po'd confiote"
Zatalyz éclate de rire : toujours faire confiance aux scouis pour le sens des priorités !
Lyno dit : Ouais fin... Pas trop relique, quand même. Parce que le "Po'd confiote moisie", c'est un peu déchu...
Velociraptux dit : Moi le balai ca m'inspire plus que je devrais le passer plus souvent :p
Scoui dit : Moi je le passe souvent ! enfin je le dépasse souvent pour éviter d'en prendre un coup
Zatalyz dit : Peut-être qu'en le passant, tu seras illuminé !
Velociraptux dit : Que c'est il passé ensuite Zataliz?
Zatalyz dit : Quand ?
Zatalyz dit : Car ensuite, il y a eu des éons.
Zatalyz dit : Et d'autres éons.
Zatalyz dit : Des rêves, et des rêveurs.
Scoui dit : (cela dit entre pinceau et un balai la différence est mince :p)
Lyno dit : Voire même des tonnes de néons...
Zatalyz sourit à l'évocation de certains
Velociraptux dit : L'amour quand est il de l'amour?
Lyno dit : Y'en a un, tu dessines dans la poussière
Zatalyz dit : Ha, l'amour...
Scoui dit : celui de la bouffe?
Zatalyz dit : L'amour a fondé le monde.
Fredi dit : ♩ ♪ Is this the real life? Is this just fantasy? ♫ ♪
Zatalyz dit : Il l'a sublimé
Zatalyz dit : C'est grâce à l'amour que ce monde est si beau... et si terrible aussi.
Zatalyz dit : C'est la plus grande force de cohésion qui existe
Zatalyz dit : c'est aussi ce qui fait faire les choses les plus... absurdes. Dangereuses.
Scoui dit : ca c'est l'amour de la boisson
Lyno dit : Par exemple, l'amour du Pod'confiote peut conduire un scoui dans un balai
Zatalyz dit : par exemple !
Zatalyz dit : Il y a beaucoup de belles histoires d'amours qui ont émaillé les éons. Beaucoup d'histoires pathétiques aussi. Et certaines qui étaient dramatiques.
Fredi dit : ♩ ♪ We are the champions my friends ♫ ♬
Zatalyz sourit : mais là, il y aurait de quoi raconter durant quelques éons aussi !
Scoui dit : ouai y a l'amour de la musique aussi *jete un coup d'oeil a fredi*
Zatalyz dit : Et l'amour de l'art
Velociraptux dit : Je t'ai entendu parlait de dualité un jour, c'est de ca dont il sagis amour / haines joix /tristesse force et faiblesse?
Fredi dit : ♬ ♪ It's a kind of magic, A kind of magic, ♫ ♬
Zatalyz gratouille la tête de pendorid : ainsi que l'amour de la dentelle, qui est une forme d'amour très charnel !
Lyno fredonne : Dis par où, c'est la sortie d'secours...
Zatalyz dit : La dualité, c'est une façon simple de voir le monde. C'est une part de la vérité.
Scoui dit : Sac de grain et balai
Zatalyz dit : Une autre part de la vérité est que la dualité créé l'unité.
Scoui dit : pas de scoui sans sac de grain et pas de sac de grain sans balai
Zatalyz dit : La vérité peut aussi être que l'unité est la source de la multiplicité.
Scoui dit : et pas de balai sans scoui
Zatalyz dit : et qu'est-ce qu'un sac de grain, sinon des milliers de grains ?
Scoui dit : c'est le cercle de la vie !
Velociraptux dit :
Scoui dit : un scouis des million de poils et un balai aps mieux
Fredi dit : ♬ ♪ It's a kind of magic, A kind of magic, ♫ ♬
Zatalyz dit : qu'est-ce qu'un balai, sinon beaucoup de fibre et un peu de bois ?
Scoui dit : et le tout c'est une cuisiniere en colere
Zatalyz cherche à caser la cuisinière dans la métaphore, puis s'avoue que parfois, on ne peut pas tout comprendre
Lyno dit : Les cuisinières échappent à toute tentative de classification...
Scoui chuchotte du chaos nait la dynamique
Zatalyz baille : le soleil est encore haut, mais l'afflux et le reflux des Brumes me perturbe
Zatalyz dit : Je vais aller faire une sieste
Lyno dit : co'o
Zatalyz dit : Passez une bonne après-midi, et savourez ce monde
Zatalyz dit : co'o ro do
Velociraptux dit : co'o
Scoui dit : Bon reveil
Lyno dit : Je vais y aller aussi. co'o ro do
Dernier message par Zatalyz - 22 Novembre 2014 à 20:55:15
Cliquez pour afficher le message
L'océan ramène sur la plage un morceau de papier détrempé. Le pendo attends, patiemment, que les flots descendent, que le papier sèche assez pour qu'il l'attrape, puis enfin vient le soulever avec délicatesse, le ramenant avec une larme à l'œil...
Dernier message par Zatalyz - 20 Novembre 2014 à 22:10:12
Cliquez pour afficher le message
Ben alors ? Il dort ce pendo ? C'est pourtant le printemps !
Dernier message par Lyne - 12 Juillet 2014 à 20:31:19
Cliquez pour afficher le message
Le truc bien, quand on soulève un meuble, c'est que parfois on trouve quelque chose en dessous.
Dernier message par Zatalyz - 05 Juillet 2014 à 13:31:39
Cliquez pour afficher le message
Une ombre passe, sort un journal d'une des étagère de la bibliothèque, le feuillette un instant, fait une petite moue, puis le pose sur une table proche, avant de repartir aussi discrètement qu'elle est arrivée.
Dernier message par Lyne - 29 Juin 2014 à 00:02:27
Cliquez pour afficher le message
*regarde pendorid* T'aurais pas pris un peu de bide, toi ?
*jette un parchemin et se sauve en courant*
*jette un parchemin et se sauve en courant*
Dernier message par Khagool - 12 Mai 2014 à 19:13:18
Cliquez pour afficher le message
Minuit.
Une pièce sombre, un faible éclairage de bureau afin de pouvoir se rendre compte à quel point la pièce est sombre.
Et donc un bureau, et un sombre personnage encapuchonné assis sur un tabouret, s'attelle à la tâche.
Sa plume trempe ostensiblement dans un liquide sombre, lorsqu'il la saisit pour écrire quelques symboles occultes, fragments d'une réalité passée ou à venir. Mais on ne joue pas avec la réalité impunément. Le personnage le sait. Son attitude fébrile trahit son malaise alors qu'il jette régulièrement des coups d'oeil à chaque recoin de la pièce. Il sait que les démons guettent depuis l'outre-monde, prêts à surgir à la moindre occasion, au moindre faux-pas dans l'élaboration des formules magiques du parchemin pour ...
AÏEUH !
Pendorid glapit en repassant sous le bureau alors que Khagool se relève et commence à faire le tour pour expédier un coup de pied bien mérité à la maudite bestiole. Mais Pendorid saute vivement sur le tabouret puis sur la table, et s'empare du parchemin resté sans surveillance, et file dans les couloirs, son trophée entre les dents.
Une pièce sombre, un faible éclairage de bureau afin de pouvoir se rendre compte à quel point la pièce est sombre.
Et donc un bureau, et un sombre personnage encapuchonné assis sur un tabouret, s'attelle à la tâche.
Sa plume trempe ostensiblement dans un liquide sombre, lorsqu'il la saisit pour écrire quelques symboles occultes, fragments d'une réalité passée ou à venir. Mais on ne joue pas avec la réalité impunément. Le personnage le sait. Son attitude fébrile trahit son malaise alors qu'il jette régulièrement des coups d'oeil à chaque recoin de la pièce. Il sait que les démons guettent depuis l'outre-monde, prêts à surgir à la moindre occasion, au moindre faux-pas dans l'élaboration des formules magiques du parchemin pour ...
AÏEUH !
Pendorid glapit en repassant sous le bureau alors que Khagool se relève et commence à faire le tour pour expédier un coup de pied bien mérité à la maudite bestiole. Mais Pendorid saute vivement sur le tabouret puis sur la table, et s'empare du parchemin resté sans surveillance, et file dans les couloirs, son trophée entre les dents.
Dernier message par Khagool - 03 Mai 2014 à 00:18:35
Cliquez pour afficher le message
Khagool travaillait consciencieusement à coucher sur parchemin les bribes de savoir qui lui passaient par l'esprit ... passer seulement ? qui savait ....
Tout à coup, un animal qui s'était approché à petits pas furtifs bondit sur .... bondit sous lui pour s'attaquer à ses chaussures et à l'ourlet de son pantalon.
"Mphmfff !!!!"
Les feuilles volèrent en tout sens, l'agresseur sursauta détala à toutes pattes, laissant Khagool rassembler ses écrits dans le désordre avant de décider de les amener le plus vite possible aux archives avant qu'il n'arrive un autre malheur.
Tout à coup, un animal qui s'était approché à petits pas furtifs bondit sur .... bondit sous lui pour s'attaquer à ses chaussures et à l'ourlet de son pantalon.
"Mphmfff !!!!"
Les feuilles volèrent en tout sens, l'agresseur sursauta détala à toutes pattes, laissant Khagool rassembler ses écrits dans le désordre avant de décider de les amener le plus vite possible aux archives avant qu'il n'arrive un autre malheur.