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Messages - lomicmenes

25 Septembre 2014 à 23:18:20
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Joie et bonheur.

Je vais organiser, mais pas trop, une chaîne de correspondance avec du vrai papier et des vrais timbres.

Dans mon idée ce sera un cercle, une semaine on écrit dans le sens trigo, une semaine dans le sens horaire.

C'est plus clair sur un exemple : à ce jour (25/09/14) il y a quatre correspondants disposés ainsi :

lomicmenes <=> Zatalyz <=> Lyne <=> pegazus <=> lomicmenes

Cette semaine (du 23 au 30 septembre) on écrit dans le sens =>

La semaine prochaine (du 1 au 8 octobre) on écrira dans le sens <=.

Quand la chaîne grandira, j'intercalerais les nouveaux.

Voilà.
23 Juin 2014 à 14:03:14
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coi rodo

Je ne vais pas pouvoir assurer les 3 prochains cours, des mardi 24 juin, 1er juillet et 8 juillet.
Et pour le reste de l'été ça va être compliqué, je ne sais pas encore.

Si je fais le mort jusqu'à la rentrée, réveillez-moi via {monpseudo} chez {googlecourrier} . {vous_pouvez_deviner}

motivation et discipline !
30 Avril 2014 à 14:47:40
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mi jinvi lo du'u ko'a mintu la .pendorid.
.i xu do tugni mi

.i ku'i lo nu ko'a mintu lo jbovelcli cu cumki .i uinai mi cfipu

mu'o
08 Mars 2014 à 17:16:03
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Un résumé de l'histoire :

Spoiler for Hiden:
Le lointain roi de tous les oiseaux, le Simorgh, fait tomber l'une de ses magnifiques plumes au centre de la Chine : les oiseaux décident de partir à sa recherche.

Ils savent que le nom de leur roi signifie Trente oiseaux ; ils savent que son palais est situé dans Kaf, la montagne circulaire qui entoure la Terre. Ils s'embarquent dans l'aventure presque sans fin.

Ils passent à travers sept vallées ou mers ; le nom de l'avant-dernière est Vertige, le nom de la dernière, Annihilation.

De nombreux pèlerins abandonnent, d'autres périssent. Trente, purifiés par leurs efforts, atteignent la montagne du Simorgh.  

Enfin ils le voient : ils perçoivent qu'ils sont le Simorgh, et que le Simorgh est chacun d'entre eux, et eux tous.

Dans le Simorgh sont les trente oiseaux, et dans chaque oiseau est le Simorgh.
08 Mars 2014 à 16:43:23
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la slanydi'u, je sombre.

Il y a près de ce qui était chez moi lo slanydi'u qui touche lo tsani. Bon moi aussi je touchais lo tsani, mais moins haut.

J'y suis entré un jour. Il n'y avait que des marches. Sur la première il était écrit blanu. Sur la seconde xunre. Et cela continuait à perte de souffle. Je fis de nombreux aller-retour. Quelques pixra accompagnaient les premiers valsi. Mais bientôt les définitions s'asséchèrent. Tout devint xekri gi'e blabi. Noir sur blanc. De plus en plus haut. Je fus surpris de revoir blanu : lo gusni visible dont la longueur d'onde est comprise entre 600 et 700 nm. Bientôt les mots ne se rapportaient plus à rien de concret. La bleuitude remplaça blanu. Puis même de telles références lointaines à un monde physique disparurent. Entre les concepts : « justice », « quantification », « représentation », je me sentais de plus en plus à l'aise. lo valsi se définissaient les uns les autres. Il semblaient se tenir les uns aux autres. Et « paradigme » ou « institution » perdaient toutes lo nu ri nandu.

Quand j'arrivais en vue du jipno, lo sampu valsi sommet m'était devenu presque étranger. Il y avait là lo logji je nitcu fanmo d'une structure dont la finitude conjectural se réifiait. lo ci romoi occurrences du pattern te serti se présentaient à moi. Sur l'antépénultième zo bangu était défini comme l'ensemble des mots et séquences de mots formulant du sens, ainsi que la collection des nécessités grammaticales régissant sa syntaxe.

Sur l'avant dernière, lo valsi be fa zo valsi se présentait comme lo selci du smuni.

Sur la dernière, zo slanydi'u se révélait comme lo stura donnant forme à lo ro stura.

J'étais à cet instant et pour toujours perdu dans le monde des mots. lo no te cliva s'offrait à moi. lo munje s'était clôt sur lui-même. Étrangement je n'avais plus lo no morji de la définition de tercli (ce mot existe-t-il seulement ?). Matière et existence sont je crois mutuellement exclusive.

De toutes les façons, lo ro smuni cu ca nenri la slanydi'u. Elle vit par elle-même, se soutient elle-même.

La postultième marche porte lo mi cmene.

Je ne veux pas connaître lo mi velski.

Que se passe-t-il quand lo termre cu binxo lo selmre ? La Réalité basti la Vérité...
07 Mars 2014 à 23:43:35
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Je mets ça là en attendant de lui trouver une place. Je vais essayer de faire 3 ou 4 versions de plus en plus lojbanisées.


La Tour, je sombre.

Il y a près de ce qui était chez moi une tour qui touche le ciel. Bon moi aussi je touchais le ciel,
mais moins haut.

J'y suis entré un jour. Il n'y avait que des marches. Sur la première il était écrit « bleu ». Sur la
seconde « rouge ». Et cela continuait à perte de souffle. Je fis de nombreux aller-retour. Quelques
images accompagnaient les premiers mots. Mais bientôt les définitions s'asséchèrent. Tout devint
noir et blanc. Noir sur blanc. De plus en plus haut. Je fus surpris de revoir bleu : lumière visible
dont la longueur d'onde est comprise entre 600 et 700 nm. Bientôt les mots ne se rapportaient plus à
rien de concret. La bleuitude remplaça le bleu. Puis même de telles références lointaines à un
monde physique disparurent. Entre les concepts : « justice », « quantification », « représentation »,
je me sentais de plus en plus à l'aise. Les mots se définissaient les uns les autres. Il semblaient se
tenir les uns aux autres. Et « paradigme » ou « institution » perdaient toutes leurs difficultés.

Quand j'arrivais en vue du sommet, ce simple mot de sommet m'était devenu presque étranger. Il y
avait là l'achèvement logique et nécessaire d'une structure dont la finitude conjectural se réifiait. Les
3 ultimes occurrences du pattern marche se présentaient à moi. Sur l'antépénultième le mot langage
était défini comme l'ensemble des mots et séquences de mots formulant du sens, ainsi que la
collection des nécessités grammaticales régissant sa syntaxe.

Sur l'avant dernière, le mot mot se présentait comme l'unité du sens.

Sur la dernière, tour se révélait comme la structure donnant forme à toutes les structures.

J'étais à cet instant et pour toujours perdu dans le monde des mots. Aucune sortie ne s'offrait plus à
moi. L'univers s'était clôt sur lui-même. Étrangement je n'avais plus aucun souvenir de la définition
de sortie (ce mot existe-t-il seulement ?). Matière et existence sont je crois mutuellement exclusive.

De toutes les façons, tous le sens est maintenant contenu dans la Tour. Elle vit par elle-même, se
soutient elle-même.

La postultième marche porte mon nom.

Je ne veux pas connaître ma définition.

Que se passe-t-il quand la mesure devient ce qui est mesuré ? La Réalité prend la place de la
Vérité...
06 Mars 2014 à 18:33:18
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Joie,

Pour revoir les cours c'est ici.
Pour la mise en image des gismu wikipedia peut aider.

Je pense que pour réviser le vocabulaire le principe de la répétition espacée est pas mauvais.
Je connait essentiellement deux outils utiles pour ça : http://www.memrise.com, qui est pas top mais en ligne et facile à prendre en main. Et anki qui est un peu plus compliqué à prendre en main, mais qui est beaucoup plus précis et puis libre aussi.

Bref ce qu'il va falloir faire à mon avis c'est lister le vocabulaire de chaque leçon et les mettre en ligne sur memrise et en faire un paquet anki... Je ne vais pas faire ça tout de suite...

et bonheur.
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